Le début de l’aventure
Ayant vécu de l’allocation chômage et cela après avoir perdu son travail dans l’un des plus grandes firmes françaises, Robaglia ne disposait pas de fonds propre pour débuter une activité. S’il a trouvé son inspiration c’est tout simplement au cœur de sa penthouse qui donnait une vue imprenable sur Neuilly et ses environs. Le cadre unique de ce lieu a permis à cet homme d’affaires de faire la différence. En effet, les toiles se sont imprégnées de la douceur du lieu, ce qui captiva l’attention des personnes qui souhaitent s’en offrir.
Un succès familial
Si la maison/galerie de Neuilly avait connu un franc succès c’est parce que la famille Robaglia avait travaillé en étroite collaboration. En effet, sa femme l’avait aidé à promouvoir le lieu en postant des publicités auprès de la société de communication où elle travaille. Mais, Pascal Robaglia Galerie était un pur perfectionniste, il s’est également offert un encart publicitaire dans l’un des journaux les plus prestigieux de France pour attirer les amateurs d’art dans sa galerie situé à Neuilly.
Les premières ventes étaient lancées et la maison/galerie a su séduire les amateurs d’art à travers la France. En quelques mois, ce lieu est devenu l’adresse incontournable pour dénicher des œuvres uniques en leur genre. Le responsable d’exportation est devenu un galeriste autodidacte qui a révolutionné le marché de l’art en France.
Les débuts et le lancement d’une nouvelle carrière
Tout comme les futurs entrepreneurs, Pascal Robaglia a connu des débuts difficiles. Il ne disposait que de quelques toiles héritées de sa famille et n’avait pas un endroit pour les exposer. Alors, il a choisi de sa penthouse en guise de galerie d’art. Ce lieu avait un cadre magnifique et le paysage qu’il dégageait a permis à notre futur galeriste de mettre en valeur les œuvres issus de son héritage. C’était à ce moment que l’idée d’ouvrir sa galerie d’art avait germé dans sa tête.
Le souci du détail, un atout majeur
Comme Pascal Robaglia est un interminable insatisfait, il avait mis les chances de son côté avec d’autres encarts publicitaires dans le journal le Figaro, son objectif était de faire connaître sa nouvelle galerie et d’attirer le maximum de personnes. Cependant, il faut noter que l’anécdote sur l’ « école frigo » a permis de lancer la carrière de cet homme.
Cette dernière lui avait en effet ouvert la porte de l’art. Les passionnés d’art venu des quatre coins de la France, mais aussi des pays environnants se sont donnés rendez-vous dans cette galerie tant sa renommée allait au-delà des frontières. Vente après-vente, la galerie s’est élargie et la famille a déménagé dans une maison plus grande pour pouvoir accueillir les expositions, et cela pour le bonheur de leurs clients.