Le terme « chirurgie réfractive » désigne une intervention oculaire qui corrige les irrégularités de réfraction à l’origine de défauts visuels grâce à l’utilisation de rayonnement lumineux (laser) . La recherche en ophtalmologie s’oriente vers un traumatisme oculaire minimal, c’est pourquoi, avec les techniques les plus innovantes, la lumière agit directement sur la cornée sans qu’il soit nécessaire d’intervenir avec des instruments chirurgicaux invasifs, tels que des fers ou des objets tranchants.
Quels défauts de vision peuvent être corrigés par le laser ?
Grâce aux traitements réfractifs de pointe, il est actuellement possible d’améliorer :
- myopie
- hypermétropie
- astigmatisme
- presbytie
Il s’agit de défauts visuels qui sont généralement traités par ceux qui en souffrent grâce au port de lunettes ou de lentilles de contact. Il existe cependant des situations dans lesquelles ces aides sont mal tolérées et un traitement réfractif est donc fortement recommandé. De tels cas incluent :
- défauts très prononcés
- défauts très déséquilibrés entre un œil et l’autre (anisométropie)
- intolérance physique ou psychologique aux lentilles
- activités professionnelles où l’utilisation de lunettes et de lentilles de contact est déconseillée, gênante ou même interdite
Quand peut-on pratiquer une chirurgie réfractive ?
Quel que soit votre état physiologique général, pour pouvoir bénéficier d’un traitement réfractif, votre défaut visuel doit d’abord être stabilisé .
Cela se produit avec l’âge et en fonction d’autres facteurs qui ne peuvent être évalués que par une consultation d’aptitude ophtalmologique .
Au cours de cette rencontre, il est possible d’établir la correspondance avec les paramètres de la conformation de l’œil et son état de santé : aux fins du traitement, en effet, il est également important de ne pas souffrir de certaines pathologies oculaires (par exemple le glaucome) ou systémiques (par exemple le diabète non compensé).
Le traitement réfractif n’a pas de contre-indications particulières chez les patientes enceintes ou allaitantes mais peut être déconseillé car, parfois, durant ces deux périodes particulières de la vie, les défauts visuels deviennent plus prononcés. Il vaut donc mieux attendre quelques mois.
En général, on peut dire que le bon moment pour un traitement réfractif arrive lorsque :
- Il a été déterminé lors de la consultation d’aptitude que les structures oculaires sont complètement développées, ce qui se produit généralement vers l’âge de la majorité (mais prend parfois plus ou moins de temps, selon l’individu).
- Les structures anatomiques de l’œil sont saines et non endommagées de manière irréversible par des interventions chirurgicales antérieures, vous ne souffrez pas de pathologies pouvant constituer une contre-indication au traitement et vous ne prenez pas de médicaments particuliers pouvant affecter l’efficacité du traitement.
- Le défaut visuel a été stabilisé depuis un temps raisonnable. Cela doit être soigneusement évalué par l’ophtalmologiste au cas par cas.
- Les lunettes et/ou lentilles de contact ne sont plus tolérées. À cet égard, également pour des raisons éthiques, il est très important que l’ophtalmologue évalue, lors de la consultation d’aptitude, les véritables raisons pour lesquelles un patient souhaite subir un traitement réfractif et quelles sont ses attentes, notamment émotionnelles, concernant le résultat.
Chirurgie réfractive : bénéfices locaux et systémiques
Un autre critère pour comprendre quand il est temps de suivre un traitement léger est lié à la manière personnelle de comprendre la santé et de la poursuivre.
En effet, la chirurgie réfractive répond aux besoins de ceux qui adoptent une philosophie et un style de vie orientés vers l’amélioration de leur condition physiologique par le plus grand respect possible de leur organisme et de sa biodynamie.
Intervenir avec la lumière permet d’agir à la fois sur le plan physico-sensoriel et sur le plan psychologique-attitudenel, produisant un nouveau niveau de bien-être généralisé : la lumière, le médium intangible par excellence, se révèle être un agent « ami » non seulement pour l’œil, l’organe responsable de sa réception, mais aussi pour le reste du corps.
Comme l’explique également le Dr Pinelli , fondateur de l’ institut SERI de Lugano , dans son livre « Voyager avec la lumière » (Mind Edizioni, 2017), les photons, les particules qui composent les faisceaux lumineux, sont en effet capables de communiquer avec les bio-photons , les particules produites par les cellules de notre corps . De l’accord harmonique qui se génère dans cet échange naît l’équilibre de l’organisme, tant au niveau local de l’œil qu’au niveau holistique, c’est-à-dire généralisé.
Traitements réfractifs au SERI Lugano : innovations et avantages
Partant de ce principe, qui évite tout traumatisme oculaire, le Dr Pinelli a développé au fil des années une série d’innovations dans le domaine de la chirurgie réfractive qui vous permettent aujourd’hui de bénéficier, au SERI Lugano, de divers traitements cornéens de pointe :
- Femtolasik Lux® – traitement utilisé pour la myopie, l’hypermétropie et l’astigmatisme
- Pinelli Presby Profile® – traitement spécifique de la presbytie
- ASA Lux® – traitement alternatif au Femtolasik Lux®, indiqué en cas de surface cornéenne extrêmement fine
Chacun de ces traitements est réalisé de manière bilatérale. L’utilisation exclusive de photons, modulés selon un algorithme que le Dr Pinelli définit de temps à autre en fonction des conditions de chaque patient, permet une série d’avantages :
- absolument non invasif
- absence totale de douleur (en effet, certains patients rapportent une sensation agréable)
- pas besoin d’hospitalisation (le patient est admis et sort le même jour)
- pas de convalescence (en quelques heures, le patient est déjà capable de voir et d’effectuer des activités quotidiennes normales, comme conduire)
L’efficacité de ce type de traitement moderne non invasif rappelle que, depuis l’Antiquité, la lumière a toujours été considérée comme un moyen de purification non seulement physique mais aussi spirituelle. Pensez simplement à son association avec le concept du « corps subtil », la partie la plus élevée de l’homme, et à la façon dont les sages et les hommes avisés de nombreuses traditions sont appelés, aujourd’hui comme par le passé, « éclairés ».
Aujourd’hui, les études scientifiques les plus pointues et l’expérience de terrain du Dr Pinelli (1)(2)(3) ont confirmé cet aspect thérapeutique et « purificateur » de la lumière, démontrant comment elle peut exercer une fonction de restauration de la fonctionnalité biologique naturelle d’une manière qui n’entre pas en conflit avec la dynamique de l’organisme.